Grazie! La soluzione EC+TGV+TGV quanto può costare?
Edit: Esistono treni Bordeaux - Arcachon in coincidenza per quell'ora?
Des transports en Carpettes...anglaises
Guillaume PÉPY, président de la SNCF, distingué pour ses éminents mérites en dévotion anglophone par le jury de l’académie de la Carpette anglaise (1), présidé par Philippe de Saint Robert, réuni à la brasserie Lipp à Paris, a reçu le prix 2013 de la Carpette anglaise. Après les Smiles, les TGV Family, et autres médiocrités linguistiques, voici que la SNCF tente de nous faire ingurgiter de l’anglais, en proposant des cours de langue anglaise uniquement, dans ses trains champenois par l’intermédiaire de l’organismeSpeakWrite ; après le trop fameux sandwich SNCF voici la bouillie anglaise !
Seconde cerise amère sur le pudding indigeste de l’anglofolie, pour Tom ENDERS, président exécutif d’EADS et grand organisateur de la politique linguistique du tout en anglais dans son groupe, qui a trouvé (dis)grâce aux yeux du jury.
L’Académie a tenu à lui décerner son prix spécial à titre étranger(2) pour avoir annoncé, en anglais seulement, à tous les salariés allemands, espagnols et français de la branche « défense et espace », un vaste plan de licenciements par une vidéo... elle-même sous-titrée en anglais. Major Tom, a été retenu après un vote serré (8 voix contre 4) l’opposant à son concurrent en abandon linguistique Joachim GAUCK, président de la République fédérale d'Allemagne qui a appelé les peuples d’Europe à adopter l’anglais comme langue de communication !
Que déshonneur leur soit rendu !
Marc Favre d'Échallens
Vendredi 13 décembre 2013
SOCIÉTÉ Lundi 06 Janvier 2014 à 12:55 (mis à jour le 06/01/2014 à 16:20)
SNCF : une vingtaine de lignes TER sur la sellette
Par valeursactuelles.com
Une vingtaine de liaisons en régions peu rentables sont sur la sellette selon la FNAUT. Photo © Wpaozi/SIPA
TER. Une vingtaine de liaisons en régions peu rentables sont sur la sellette selon la FNAUT. Elles pourraient disparaître dans les dix prochaines années.
Le raisonnement du président de la Fédération nationale des usagers des transports (FNAUT) est le suivant : plus la fréquentation d’une ligne est en baisse, plus espacés sont les trains et moins les usagers ne l’empruntent. Jean Sivardière tire alors la sonnette d’alarme : une vingtaine de lignes TER est en passe de disparaître d’ici une dizaine années.
5 000 kilomètres sur la sellette
5 000 kilomètres sont sur la sellette, tels que Morlaix/Roscoff, Limoges/Brive ou encore La-Roche-sur-Yon/Thouars. Le point commun de ces lignes peu profitables est qu’elles couvrent des bassins d’emplois peu attractifs. Elles sont empruntées par peu d’usagers. Par conséquent, les régions se montrent de plus en plus réticentes à les renflouer financièrement.
Le président de la FNAUT cité par Europe 1 pointe du doigt les nombreux problèmes actuels, mettant notamment en cause la SNCF : « les horaires sont inadaptés aux besoins. Par exemple, il est impossible d’arriver avant 10 heures du matin dans la grande ville terminus de la ligne. Les correspondances sont mal organisées avec les trains des grandes lignes. Le matériel est vêtuste, inconfortable et les pannes et les retards sont fréquents » dénonce Jean Sivardière.
Les trois acteurs : SNCF, RFF et les régions
La fermeture d’une ligne ne relève pas du seul pouvoir de la SCNF mais est le fruit de discussions entre la SNCF, la région - qui a le dernier mot en matière de trains régions – et RFF – responsable de l’entretien des lignes.
Mais la FNAUT dénonce une stratégie de laisser-faire que semble déployer les différents acteurs : la SNCF a par exemple tout intérêt à concentrer ses efforts sur les zones davantage peuplées et donc plus rentables.
Le TGV low-cost Ouigo franchit le cap des 2 millions de billets vendus
Par lefigaro.fr Publié le 04/02/2014 à 12:46
Parmi ces billets, 200.000 ont été vendus à 10 euros et 300.000 au prix spécifique de 5 euros pour les enfants, selon la filiale de la SNCF, qui admet toutefois atteindre un taux de remplissage des trains inférieur aux objectifs.
Ouigo, la filiale à bas coûts de la SNCF, a annoncé ce mardi avoir atteint les 2 millions de billets vendus depuis son lancement il y a un an, malgré un taux de remplissage des trains inférieur aux objectifs. Parmi ces billets, 200.000 ont été vendus à 10 euros et 300.000 au prix spécifique de 5 euros pour les enfants, a précisé l'entreprise dans un communiqué.
En outre, le groupe cite le résultat d'une enquête CSA datant de novembre 2013 selon laquelle 400.000 clients n'auraient pas voyagé du tout sans l'existence de l'offre Ouigo.
Cette filiale de la SNCF n'afficherait toutefois qu'un taux d'occupation des trains de 60%, soit un bilan en deçà des objectifs que s'était fixés l'opérateur ferroviaire. «L'efficacité du modèle Ouigo repose sur une capacité de transport fixe de 1200 places, qui ne s'adapte pas aux variations de trafic le week-end ou la semaine (...). Ce choix pèse sur le taux de remplissage, mais il minimise les aléas», a expliqué Barbara Dalibard, la directrice générale de SNCF Voyages, aux Échos sans confirmer ce taux.
Prix plus bas que prévu
Malgré son succès commercial, Ouigo ne remplit pas non plus son objectif de chiffre d'affaires, en raison de la vente de billets à des prix plus bas que ce qui était initialement prévu par l'entreprise. «Ouigo est arrivé en plein milieu de la crise, ce qui nous a amenés à accroître la politique de petits prix», a confirmé Mme Dalibard. Lancé en février 2013, Ouigo propose, au départ de Marne-La-Vallée, des trains à des prix compris entre 10 et 85 euros le billet.
(AFP)
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